Depuis décembre 1994, l’île de Porto-Rico est le théâtre d’une importante vague d’OVNIS, mais aussi, d’apparitions d’étranges créatures, surnommées Chupacabras (suces-chèvres).
Ce surnom leur a été donné car on accuse ces créatures de s’attaquer aux animaux (vaches, chèvres, lapins, chiens, chats …) et de les vider de leur sang.
Des milliers d’animaux ont ainsi été tués à travers l’île. Les autorités portoricaines affirment qu’il s’agit de l’œuvre de prédateurs locaux ou exotiques introduits illégalement dans l’île.
Cependant, les nombreux cas et leurs caractéristiques étranges semblent dépasser le cadre d’attaques par des prédateurs connus.
Certains détails sont assez troublants. Les animaux portent de nombreuses blessures constituées de trous circulaires d’un diamètre variant entre 0,6 cm et 1,25 cm, qui vont par paires ou sont disposés en triangle, pénétrant très profondément dans le cou ou juste sous la mâchoire.
La régularité de ces blessures est difficilement compatible avec l’attaque de prédateurs.
Ce qui est encore plus intrigant c’est que l’on ne retrouve aucune marque sur le côté opposé des blessures, ni même la trace d’une quelconque pression.
Or quand un carnassier mord le cou de sa proie, la pression des mâchoires s’exerce des deux côtés.
De plus, il n’y a aucune trace de griffes comme cela devrait être le cas en cas d’attaque d’un prédateur.
Les analyses effectuées sur les cadavres ont indiqué que « quelque chose » était introduit dans le corps, et qui a une longueur de 7,5 cm à 12,5 cm.
Ce « quelque chose » semble cautériser les bords de la plaie. De plus, les autopsies ont montré que les traces circulaires en triangles pénètrent très profondément, jusqu’au foie des victimes.
Sur certains animaux, on a relevé des blessures de 2,5 à 30 cm de diamètre sur le cou, le poitrail, le ventre et la zone anale. Ces blessures paraissent avoir été faites avec un instrument de précision, du type scalpel.
Certains organes ont été prélevés comme le foie, les organes reproducteurs, l’anus ou les yeux.
Enfin, un autre fait troublant : les animaux ne présentent aucune rigidité cadavérique.
Ces différents éléments rappellent les cas de mutilations sur le bétail aux Etats-Unis.