... près des côtes japonaisesElles pourraient précéder les pyramides d’Egypte de près de 5000 ans. Jusqu'à récemment, les chercheurs les plus en pointe pour ce qui est des grands bâtiments antiques dans le monde étaient généralement d’accord sur le fait que les édifices les plus anciens ayant une taille et une complexité architecturale importante, c’est à dire les pyramides d’Egypte, n’avaient pas plus de 5000 ans.
Quand le chercheur John Anthony West et ses collègues trouvèrent des indices pouvant indiquer que le sphinx du plateau de Guizeh pouvait être vieux de plus de 10000 ans, cela causa un énorme tapage, dû à la dénonciation sans équivoque de cette théorie par les archéologues « officiels ».
La raison primordiale de ce tumulte était sans doute la prise de conscience par les universitaires que l’existence d’une structure sophistiquée d’un tel âge remettrait en cause tous les concepts en ce qui concerne l’histoire ancienne et la civilisation humaine.
Pourtant, la preuve de l’existence d’antiques superstructures continue à émerger à d’autres endroits du globe, comme par exemple certaines ruines dans les hautes Andes (Machu-Pichu par exemple), et comme récemment découverts certains sites près des côtes japonaises.
Voici la traduction d’un court extrait d’un texte du Sunday Times de Londres daté du 26 avril 1998, et écrit par Trushar Barot :
« Une structure, qui apparaît comme étant la plus vieille construction d’envergure du monde ( deux fois l’âge des pyramides d’Egypte), vient d’être découverte. Cette ziggourat rectangulaire en pierre, retrouvée au fond de la mer du Japon, près des côtes nippones, pourrait être le premier témoignage d’une civilisation encore inconnue de l’âge de pierre, de l’avis même des archéologues.
Le monument fait environ 183 mètres de large, et 27 mètres de haut. Sa datation a révélé qu’il remontait à au moins 8000 ans av. JC.
Le professeur Masaki Kimura, un géologue de l’université Ryukyu à Okinawa, qui fût le premier scientifique à étudier le site, a conclu que la mystérieuse structure de 5 étages avait été bâtie de la main de l’homme. «Cet objet n’a pas été façonné par la nature. Si cela avait été le cas, on pourrait s’attendre à trouver des débris dus à l’érosion autour du site, mais il n’y a pas de fragments de roche ici » a-t-il indiqué. « La découverte de ce qui apparaît être une route entourant la construction est une autre preuve de la nature artificielle du bâtiment.» a ajouté le professeur Kimura.
Une autre preuve de l’origine artificielle de ce monument fut apportée par la découverte dans les alentours d’autres tertres sous-marins, plus petits.
Les premières traces d’une quelconque civilisation au Japon remontent à environ 9000 av. JC. les hommes y étaient à cette époque des chasseurs-cueilleurs. Il n’y a rien dans les archives archéologiques qui permettent de penser à la présence à cette époque d’une culture assez avancée pour bâtir une structure telle qu’une ziggourat.
Bonne lecture!!!!!!