La muse ment et l'amant peine
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 Mémoire cellulaire

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Loblick
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Mémoire cellulaire Empty
MessageSujet: Mémoire cellulaire   Mémoire cellulaire Icon_minitimeMer 23 Jan - 20:43

Voici le principe (source www.memoirecellumaire.com)

Vous y croyez vous?


Les mémoires cellulaires se définissent comme étant les empreintes positives ou négatives laissées par les évènements de la vie de chacun. Ces empreintes restent inscrites selon une configuration hologrammique. La totalité de l’information est contenue dans la plus petite unité de vie : la cellule.

Transmises génétiquement de génération en génération, ces mémoires s’ajoutent à notre vécu émotionnel quotidien. Remises en question à chaque instant par notre cerveau, elles constituent les références selon lesquelles s’organise notre vie.

Le cerveau, notre centrale de commande, utilise ces empreintes pour exprimer nos sensibilités, nos capacités ou nos faiblesses. Ainsi pouvons-nous bénéficier d’une virtuosité similaire à celle d’un ancêtre ou, au contraire, manifester un contexte de difficultés et de maladies semblables à celui d’un aïeul proche ou éloigné.

Ces mémoires cellulaires sont inscrites et positionnées dans le corps selon une configuration spatiale déterminée par l’architecture du cerveau et des ramifications nerveuses identiques pour chacun de nous

LE CERVEAU

Le cerveau est composé de deux parties intimement reliées entre elles :
- une partie consciente ;
- une partie inconsciente (Système Nerveux Autonome) qui constitue la centrale de commande chargée du fonctionnement de l'ensemble du corps humain.

Lorsque nous vivons une émotion consciente, nous en constatons systématiquement les effets dans notre organisme. Une joie ou une peur pourront, par exemple, augmenter notre fréquence cardiaque, provoquer un évanouissement.
Ces réactions de l’organisme, indépendantes de notre volonté, confirment l’association et la complémentarité du corps et de l’esprit.
Depuis au moins quatre millions d'années, cette centrale de commande, exclusivement configurée comme un programme biologique de survie, analyse en permanence toutes les informations lui parvenant de nos sens. Elle exécute de façon inconsciente des milliers d'opérations pour répondre, à chaque instant, à la question sans cesse répétée :
"Je suis vivant ; quel est mon meilleur programme de survie ?"
"Je suis vivant ; quel est mon meilleur programme de survie ?"
"Je suis vivant ; quel est mon meilleur programme de survie ?"

Nos différents sens informent notre cerveau. Celui-ci pilote nos organes et l’ensemble des cellules par l'intermédiaire de stimulations électriques de l'ordre du microvolt.
Ainsi, par exemple :

- La lumière qui arrive sur notre rétine est immédiatement transformée en électricité. Par l’intermédiaire des nerfs optiques (fils électriques ou antennes), elle stimule les cellules du cerveau spécialisées pour la vision. Nous prenons alors conscience de la lumière ambiante, de l'image qui est devant nous.
- Le son qui parvient à nos oreilles fait vibrer notre tympan. Cette vibration transformée par les cellules de l'oreille en électricité va cheminer, par l'intermédiaire des nerfs auditifs (fils électriques ou antennes), vers les cellules spécialisées du cerveau pour le traitement du son. A ce moment, nous prenons conscience du bruit, de la musique qui nous entoure.
- La contraction musculaire volontaire ou involontaire est gérée par un phénomène analogue. Dans ce cas, les stimulations électriques proviennent du cerveau, de la moelle épinière. Par l'intermédiaire des nerfs, elles se dirigent vers la plaque motrice chargée de propager l'information à l'ensemble du muscle et d’activer la contraction.

Quand notre vie est calme et harmonieuse, l'ensemble de l'organisme fonctionne régulièrement. Le renouvellement des différents tissus est harmonieux, lui aussi.




LE RENOUVELLEMENT DE L’ORGANISME

Derrière l’apparente stabilité de l’organisme se cache une réalité dynamique de renouvellement perpétuel. Ainsi,
- 98% des atomes et molécules constituant l’ensemble de notre organisme aujourd’hui sont différents de ceux existant
-un an auparavant ;
- 98% de ceux constituant actuellement nos os sont différents de ceux existant
-trois mois auparavant ;
- 98% de ceux constituant actuellement notre peau sont différents de ceux existant
-un mois auparavant ;
- 98% de ceux constituant actuellement la paroi de notre estomac sont différents de ceux existant
-quatre jours auparavant.

Devant la réalité de ce renouvellement relativement rapide de chaque partie de notre organisme, il est concevable que la moindre modification sans cesse répétée à chaque renouvellement puisse, au fil des mois et des années, entraîner des transformations importantes dans les structures solides de notre corps. Un peu comme une goutte d’eau qui, tombant inlassablement use les pierres les plus dures.

Dans ce constant processus d’échange avec l’environnement, nos programmes de régénération tissulaires et la construction de notre futur « présent » sont dépendants :
- de nos mémoires cellulaires personnelles et généalogiques ;
- de notre alimentation ;
- des relations et incidences émotionnelles que nous avons au présent avec cet environnement.

Nous pouvons concevoir aussi que le corps ne connaît pas d’usure au sens mécanique du terme, mais une perpétuelle transformation au fil du temps, selon des programmes bien déterminés.
C’est la perturbation de ces programmes de renouvellement de base par nos mémoires cellulaires chargées de conflits émotifs qui vont générer le désordre et la maladie.

Nos pathologies parfois très invalidantes se sont construites sur des chocs anciens oubliés et enfouis, souvent considérés aujourd’hui comme anodins.



LES MEMOIRES CELLULAIRES


Lorsque nous subissons une émotion, brève ou prolongée et obsédante, il apparaît dans le cerveau un phénomène de surtension électrique généralisée ou localisée. Cette surtension va générer une mémoire cellulaire qui pourra se ré-exprimer dans le corps après plusieurs mois ou plusieurs années.

Une émotion brève et intense peut provoquer en nous un sursaut, c'est-à-dire une contraction musculaire brève correspondant au délestage du surplus d'électricité créé dans le cerveau par cette émotion.

Lors d’une contrariété prolongée, dont l'intensité dépasse un certain seuil, il y aura délestage de l’excès d’énergie dans une région précise de l'organisme, provoquant une perturbation des fonctions cellulaires nutritionnelles des tissus correspondants et la création de mémoires cellulaires.





Seuil de délestage dans le corps
(Seuil de Constitution d’une mémoire cellulaire d'intensité suffisante pour programmer une répercussion dans le futur)

Ligne de base d’eutonie

Toute contrariété de teinte affective identique aura toujours la même localisation cérébrale et sera caractérisée par un foyer de densification visible au scanner (Foyer de Hamer ou noyau pathogène de Freud).
L’ensemble des nerfs relie chaque localisation de notre cerveau à l’ensemble de l'organisme de façon identique pour chaque individu.
Une même teinte affective se projettera toujours dans le même tissu, à la même localisation et avec le même dysfonctionnement cellulaire.
Au cours de la phase conflictuelle, l'organisme se transforme, se modifie ou se détériore. Il peut y avoir perte osseuse ou déminéralisation, érosion ou construction tissulaire et formation de cellules anormales, cancéreuses ou non.
Cette phase conflictuelle est souvent asymptomatique durant la période de stress. Les modifications, transformations, détériorations et mémoires cellulaires qui en résultent sont des mécanismes de sauvegarde de l’organisme. Ce sont des soupapes de sécurité. Elles permettent de dériver et décharger l’excès d'énergie localisé dans notre cerveau, processus impossible dans un rythme normal de vie.
Durant cette période, l’organisme, sera particulièrement performant dans de nombreux domaines, peu sensible aux sensations douloureuses pour être capable de lutter, combattre, fuir et se reproduire face à ce prédateur virtuel qu’est le stress.
Ce système tampon - ou mémoire cellulaire - évite notre mort immédiate.
Ces phases d’accumulation de charges qui se mémorisent sont la rançon de notre évolution et de la complexité de notre système de pensée. Elles constituent une des solutions utilisées par les êtres vivants pour prolonger la vie.
Ces phases évitent la détérioration irrémédiable de notre cerveau. Elles le libère des obnubilations conflictuelles. Cette dérivation des charges émotionnelles dans le corps, favorise les pensées constructives. Celles-ci apportent une solution à la problématique, une évolution de conscience de l’individu avec surtout la transformation de cet évènement douloureux en enseignement de vie et de guérison.

Les fonctions biologiques des êtres vivants sont dans tous les cas, des fonctions d'avenir.

Elles réparent sans cesse le passé personnel et généalogique, préparent sans cesse l'organisme pour l'avenir afin d’échapper ou combattre le "prédateur" et valoriser les capacités pour pérenniser l'espèce.

La maladie résulte de la manifestation d’accumulation de ces mémoires émotionnelles non évacuées.

Ces mémoires se transforment, par un mécanisme non contrôlable, dans le biologique inconscient du monde cellulaire et participent à l’apparition à un moment précis dans la vie de l’individu à la formation de cellules pathologiques.
L’apparition de la maladie, la formation de ces cellules considérées comme anormales est pour l’organisme, la solution au niveau cellulaire des différentes situations conflictuelles vécues par l’individu, au cours de sa vie.
Cette solution apportée par nos cellules apparaît à retardement, le plus souvent en période de tranquillité, de sécurité, période où le stress à disparu.

La thérapeutique, la décharge des mémoires cellulaires est la deuxième chance de la nature pour la survie de l'individu.

La guérison n'appartient qu'au patient.

Elle est le résultat :
- D'une prise de conscience des situations émotionnelles.
- De leur résolution active et pratique
- De l’acquisition de la neutralité émotionnelle.

L'IMPORTANT N'EST PAS LE VECU MAIS LE RESSENTI ET LA SENSATION.

Ce qui n'arrive pas à la conscience revient sous forme de destin (JUNG)
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